le 09/05/2025 par Mes Infos Auvergne-Rhône-Alpes - Economie
Le groupe industriel rhodanien Arcole finalise sa dixième acquisition
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Spécialisé dans la mécanique de précision, le groupe rhodanien Arcole renforce son pôle usinage avec l'acquisition de la société Burdeyron basée à Décines.
le 09/05/2025 par La Montagne Economie - Emploi, Secteurs, Entreprises
Auvergne, Bretagne, Bourgogne… Cette entreprise puydomoise grave les symboles régionaux sur ses couteaux
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Depuis un an, l’entreprise Le Coq français, située à Thiers (Puy-de-Dôme), développe sa gamme de couteaux régionaux distribués dans des sites touristiques partout en France.
Rhône. Industrie : avec le rachat de Burdeyron, Arcole signe sa dixième acquisition
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Créé en 2016, le groupe spécialisé en mécanique de précision enchaîne les acquisitions avec une ambition : atteindre 70 millions d’euros de chiffre d’affaires d’ici à 2026.
Constellium : « Avec l’EPFL Rocket Team, on veut éduquer les universités sur les matériaux améliorés en aluminium »
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Avec Bernard de Mestral (ingénieur d'application client chez Constellium), Florent Piton (ingénieur structure en chef - étudiant), Michaël Fuser (ingénieur système - étudiant) et Stéphane Blézy (journaliste au Dauphiné Libéré)
Le tandem Rivolier-RSBC candidat à la reprise de Verney-Carron
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Le groupe familial de Saint-Just-Saint-Rambert Rivolier s’associe au family office tchèque RSBC pour reprendre Verney-Carron, en redressement judiciaire.
Loire. Sidérurgie : Clecim décroche un méga contrat avec Tata Steel UK
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Le fabricant de lignes pour l’industrie sidérurgique implanté à Savigneux signe une commande de plusieurs dizaines de millions d’euros avec la filiale britannique de l’Indien Tata Steel. Une excellente nouvelle pour l’ETI montbrisonnaise dans un contexte difficile actuellement sur le marché de l’acier.
Clecim déploie ses armes à l’international sans complexe face à une concurrence de mastodontes
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L’essentiel : Clecim, fabricant ligérien d’équipements destinés à l’industrie sidérurgique, affiche un chiffre d’affaires de l’ordre de 50 millions d’euros. Il vient de remporter un marché de « plusieurs dizaines de millions d’euros » avec Tata Steel UK. Il y a deux ans, c’était avec l’Américain Nucor qu’il avait validé une commande de 30 millions d’euros. Comment expliquer ces succès au nez et à la barbe de concurrents affichant des chiffres d’affaires à 9 chiffres ? L’audace, répond Thomas Comte, son CEO.