Huit ans de mise au point, 12 millions d’euros d’investissement pour réaliser une prouesse technologique. Avec MaxiBrome, un four transformé en solution vertueuse pour régénérer les sels de brome, Trédi à Saint-Vulbas, devient le premier acteur mondial en la matière.
»Airbus a profité du salon du Bourget pour signer un partenariat avec le major des semi-conducteurs STMicroelectronics afin d'optimiser le développement de ses futurs aéronefs électriques et hybrides. Le géant compte surfer sur l'engouement autour de la décarbonation de l'aviation pour gagner des parts de marché dans ce secteur.
»Le projet de loi « Industrie Verte », qui arrive au Sénat à la fin du mois, vise notamment à décarboner l’outil industriel français. Depuis 15 ans, Braincube, située à Issoire dans le Puy-de-Dôme, outille les entreprises pour leur permettre de réaliser des économies d’énergie et des gains de productivité, tout en émettant moins de CO2. La loi pourrait doper leur activité.
»Canson, célèbre fabricant de papier, programme des travaux cet été. Objectif : réduire encore la consommation d’eau de ses deux sites de production en Ardèche. Une question de RSE et de survie pour cette industrie gourmande en eau, face au réchauffement climatique et au risque de sécheresse.
»Les PME et ETI représentent 30 % de l’empreinte carbone de la France. Sous-traitants, prestataires de grands groupes, les PME et ETI ne font que rarement l’objet des discours autour de la décarbonation des entreprises françaises. Pourtant, l’objectif fixé par l’accord de Paris, d’une Union Européenne climatiquement neutre d’ici 2050, ne peut être atteint qu’avec les efforts des PME et ETI. La troisième étude sur le climat de Bpifrance Le Lab retrace le parcours des actions climatiques de ces entreprises.
»AMOÉBA biotech industrielle en pré-commercialisation* spécialisée dans le traitement du risque microbiologique, développant un agent de biocontrôle pour le traitement des plantes en agriculture et un biocide biologique pour le traitement de l’eau industrielle, annonce aujourd’hui le nom de marque de ses solutions de biocontrôle, en vue de la commercialisation envisagée début 2025.
»Le spécialiste français de la détection des maladies infectieuses bioMérieux va réorganiser sa gouvernance au 1er juillet. Il a présenté mardi un nouveau plan d'investissement de 300 millions d'euros sur cinq ans pour l'ensemble de ses sites de production dans l'Hexagone.
»Le site d'Urgo Advanced Textile à Veauche qui produit des bandes pour la contention veineuse, connaît 15 % de croissance par an. Pour l’accompagner, elle vise un effectif de 130 à 200 salariés d’ici 2026.
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