MSA safety acquiert la société britannique Bristol Uniforms
« Leader mondial sur le marché des équipements de protection individuelle (EPI), MSA safety a acheté Bristol Uniforms. Une acquisition qui renforce la position de MSA, tout en lui offrant la possibilité de développer ses activités au Royaume-Uni et sur les principaux marchés européens. » [Article réservé aux abonnés]
Renault Trucks enregistre 373 candidatures à la rupture conventionnelle collective
« Le 11 décembre dernier, la CFE-CGC et la CFDT (à l’inverse de la CGT, FO et Sud) signaient l’accord de rupture conventionnelle collective proposé par la direction de Renault Trucks, filiale du groupe Volvo. Ces deux syndicats représentant plus de 50 % des délégués du personnel, l’accord était validé. Il porte sur 290 départs volontaires à Lyon (Vénissieux/Saint-Priest) et Bourg-en-Bresse, essentiellement chez les techniciens, agents de maîtrise et cadres. À la date du 3 février, 373 candidatures ont été reçues, indique la CFE-CGC dans un communiqué de presse. »
« Aides aux entreprises frappées par la crise, plan collège, dotations aux communes… Le président du Conseil départemental a dressé le bilan de l’année passée et les perspectives pour celle en cours. »
Les orientations 2021 des Acteurs économiques de la Plastics Vallée
« Le nouveau bureau des Acteurs économiques de la Plastics Vallée (lire notre édition du 4 février) a défini à l'occasion du premier conseil d'administration de l'année, jeudi 28 janvier, quelques-unes des orientations de l'association pour les mois à venir, en particulier autour de la vice-présidence de Stéphane Perrollier, dédiée aux relations école-entreprise. »
Licenciements à Lisi Médical Fasteners : les syndicats montent au créneau
« « De nombreuses entreprises profitent de la situation actuelle pour lancer des plans sociaux à tout-va ». Le décor est planté. Pour l’instance syndicale du site Lisi Médical , à Neyron, spécialisé dans la fabrication industrielle de prothèses médicales, la crise est une aubaine pour la direction. Le lundi 1er février, ils entamaient une grève pour dénoncer le Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) dévoilé mi-décembre par les responsables du site. [article réservé aux abonnés] »
Comment des élus font pression pour accueillir des réacteurs EPR
« De droite, de gauche, de LREM. De l’Ardèche, de la Drôme, du Vaucluse et du Gard. D’une seule voix, des élus ont écrit ce lundi 1er février au patron d’EDF. Objectif : le convaincre de choisir Tricastin pour accueillir des réacteurs nucléaires nouvelle génération. »
Nucléaire : Les élus de l’Ain défendent leur territoire
« Décidément, il semble que l’arrêt de la centrale du Bugey intéresse bien du monde. Après la Suisse, c’est désormais des élus de la métropole de Lyon et ceux de la région qui demandent à l’Autorité de sûreté nucléaire de refuser la prolongation de dix ans de la centrale aindinoise. Les demandes agacent dans le département alors que le grand carénage et ses deux milliards d’euros d’investissement sont en cours. »
Les Acteurs économiques de la Plastics Vallée dans les starting-blocks
« Les Acteurs économiques de la Plastics Vallée dans les starting-blocks L’AEPV se prépare à l’après-crise. Avec de nouveaux projets, un bureau renouvelé et en essayant de bâtir malgré le contexte un agenda 2021. » [Article intégral réservé aux abonnés]
L'édition 2021 du grand salon de l'orientation à Ainterexpo laisse cette année la place à une présentation en 14 épisodes des filières de formation et des métiers qui recrutent.
« Pas question d'ajouter le nom d'Ain'formations orientation sur la liste déjà bien trop longue des victimes de l'épidémie de Covid-19. Le grand salon annuel, qui se déroule depuis 20 ans sous les halls d'Ainterexpo à Bourg-en-Bresse, n'aura en effet pas lieu cet hiver. Le millésime 2021 a toutefois été maintenu sous une forme différente concoctée par le Conseil départemental et ses partenaires historiques : l'Éducation nationale, la Chambre de commerce et d'industrie, la Chambre de métiers et de l'artisanat et la Chambre d'agriculture. »
Ain. Le destin en suspens d'une usine chinoise implantée en France
« C'est l'histoire d'une entreprise chinoise qui a ouvert une succursale dans l'Ain quelques mois avant la Covid. Évidemment, la société de cosmétique n'a pas bénéficié des aides françaises. Depuis, elle vivote en faisant de la sous-traitance pour des européens. »