La deeptech grenobloise, qui a validé sa technologie de batterie miniature fonctionnant avec du papier et des enzymes, lève 16 millions d’euros afin de passer à la phase d’industrialisation. D’ici à la fin de l’année 2024, elle sera en capacité de fabriquer un million de biopiles chaque jour. Elles alimenteront le marché des dispositifs basse consommation, en recherche de solutions plus vertueuses que les piles lithium et alcalines actuellement utilisées.
»12 nouveaux adhérents ont rejoint les rangs du club isérois Les entreprises s'engagent, créé en 2019 pour faciliter l'accès à l'emploi.
»En Auvergne-Rhône-Alpes, la Banque de France agit pour sensibiliser les entreprises qu'elle cote aux risques en matière de cybersécurité.
»Il l’affiche de but en blanc. Florent Béranger a imaginé « la » plateforme qui transforme les faiblesses d’une entreprise en forces, « en moins d’une heure ». Au-delà du slogan, la start-up E Value it, fondée à Albon, revendique son savoir-faire technologique.
»Pour terminer leur apprentissage de deux ans chez Gerflor, les jeunes soliers étaient réunis à Tarare ce vendredi 23 juin. Ils ont pu montrer les ...
»Le leader européen des voitures sans permis a inauguré vendredi 16 juin dernier en fin de matinée la 1re tranche de sa toute nouvelle unité de production. Implanté en lieu et place de l’ancien site Pont-à-Mousson, à l’abandon depuis la fin des années 1990, ce nouveau site baptisé AM-e est dimensionné pour produire 160 véhicules par semaine et accompagner l’électrification du marché. Sa réalisation représente un investissement de 10 millions d’euros et a engendré la création de 35 emplois.
»Désormais dirigée par Jérôme Recoing, la PME nord-drômoise spécialisée dans l’assemblage et l’installation sur sites de systèmes de brumisation à haute pression voit plus grand. Quand beaucoup redoutent la hausse des températures, certains en revanchent voient dans l’envolée du mercure une formidable opportunité de développement. Les yeux rivés sur le thermomètre et sur les bulletins […]
»LYON BUSINESS. Depuis dix ans, la société d'accélération du transfert de technologies, Pulsalys, sort les découvertes des laboratoires pour les amener jusqu'au grand public ou à l'industrie. Sa présidente, Sophie Jullian, revient le bilan et les évolutions qui ont marqué Pulsalys.
»Que faire de nos déchets organiques ? Chez les particuliers, le compostage se développe mais comment s'organise le monde de la restauration collective ou celui de la grande distribution ? Une start-up auvergnate développe une machine qui leur permet de réduire de 90% ces biodéchets.
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