Suite à la naissance de la nouvelle région, un regard croisé de statisticiens et de géographes a été posé sur la région au travers d'un Atlas en 3 tomes. le tome 3 apporte une analyse des flux et mobilités au sein de la région et vis-à-vis de l’extérieur.
Cette note mensuelle analyse la conjoncture économique du territoire lyonnais : emploi salarié, intentions d’embauche, chômage, commerce extérieur, difficultés des entreprises, immobilier…
Suite à la naissance de la nouvelle région, un regard croisé de statisticiens et de géographes a été posé sur la région au travers d'un Atlas en 3 tomes. Le tome 2 s’intéresse aux habitants de la région, à leur environnement et à leurs conditions de vie.
Cette note mensuelle analyse la conjoncture économique du territoire lyonnais : emploi salarié, intentions d’embauche, chômage, commerce extérieur, difficultés des entreprises, immobilier…
L'enseignement supérieur privé a connu au cours des dernières années une croissance importante en France. La Métropole lyonnaise voit augmenter de façon importante le nombre d'étudiants inscrits dans des établissements privés.
Cette publication offre une comparaison du territoire lyonnais avec une dizaine de métropoles françaises sur la base de divers indicateurs économiques et démographiques.
L’économie de la Loire est désormais dominée par la sphère présentielle, avec une industrie moins présente qu’avant. De nombreux Ligériens vont travailler hors du département.
En moyenne, 10 000 établissements se déplacent chaque année au sein de l’aire métropolitaine Lyon-Saint-Étienne, dont 6 500 d’une commune à une autre. Leur impact sur l’emploi est faible comparativement à celui des établissements qui n’ont pas déménagé.
Suite à la naissance de la nouvelle région, un regard croisé de statisticiens et de géographes a été posé sur la région au travers d'un Atlas en 3 tomes. Le premier tome est dédié aux composantes physiques, humaines et économiques de la région.
Les villes moyennes et leurs aires d’influence abritent près du quart de la population régionale. Leur poids économique tend à se réduire depuis les années 2000, sous l’effet d’une métropolisation qui favorise les grandes villes.