En 2017, près de 44 millions d’heures de travail ont été réalisées par des saisonniers en Auvergne-Rhône-Alpes, soit 18 % du volume français, classant la région au premier rang.
Porte naturelle entre le nord et le sud de la France, l’Allier est l’un des départements les moins densément peuplés de France et dont la population baisse légèrement.
L’Ardèche est un territoire faiblement peuplé et peu dense, dont le réseau routier s’inscrit dans un relief difficile rendant les temps de transport plus longs que dans le reste de la région.
La population de la Drôme est de 514 800 habitants, faisant du département le septième de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Valence Romans Agglo concentre 43% de la population d’un département peu dense (78 habitants au km2).
Avec 434 000 habitants, la Savoie est l’un des départements les moins peuplés de la région, malgré une démographie dynamique.
Territoire très faiblement peuplé, très peu dense, avec une population vieillissante, le Cantal reste à l’écart de la croissance démographique, en raison d’un solde naturel déficitaire et de difficultés liées à son enclavement géographique et son déficit en voies autoroutières ou ferroviaires, qui limitent son attractivité.
Avec 1,3 millions d'habitants, l’Isère est le deuxième département le plus peuplé de la région Auvergne-Rhône-Alpes, avec une forte densité (161 habitants au km²) malgré un relief montagneux valorisé par des activités touristiques.
La Loire est un territoire en renouveau qui dispose de nombreux atouts. De taille moyenne, bien desservi par les infrastructures routières, il a certes perdu beaucoup d’emplois au fil du temps - dans le textile, l’armement, le secteur minier, l’industrie métallurgique - mais après un creux dans les années 1990, l’évolution démographique est de nouveau positive.