Ce dossier propose une analyse des caractéristiques démographiques et économiques des zones de montagne régionales et les facteurs qui accompagnent ou entravent le développement de ces territoires.
Les villes moyennes et leurs aires d’influence abritent près du quart de la population régionale. Leur poids économique tend à se réduire depuis les années 2000, sous l’effet d’une métropolisation qui favorise les grandes villes.
La filière « machines-outils et automatismes industriels » s’est développée dans le sillage des donneurs d’ordres des différents secteurs industriels du bassin lémanique.
Les établissements de l’aire urbaine de Lyon génèrent 53 milliards d’euros de richesse dégagée, majoritairement dans la sphère productive. C’est la deuxième aire urbaine derrière celle de Paris.
La 19e publication s'enrichit de chiffres clés et d'un zoom sur le quartier St Jean retenu dans le cadre du dispositif d'envergure nationale "Territoire zéro chômeur de longue durée", expérimentation de 10 territoires initiée par le Ministère du travail.
Cette étude porte sur l’ensemble des communes classées en zone montagne en Auvergne-Rhône-Alpes. La région, qui couvre 3 massifs (les Alpes, le Massif Central et le Jura), constitue la première région française pour l’étendue des espaces de montagne.
Depuis 2008, les suppressions d'emplois industriels sont continues, au rythme de 10 000 emplois en moins par an dans la région, sous l'effet de la concurrence internationale, des hausses de productivité et de l'externalisation de certains emplois.
Dans le Rhône, les zones d’activités économiques montent en charge entre 2009 et 2011, avec une augmentation de près de 7 % du nombre d’établissements présents et de 5 % des salariés.
L’essor de la micromécanique et du décolletage dans le bassin lémanique est très lié à l’industrie horlogère qui nécessite, pour la réalisation de ses produits, des pièces de très haute précision.