Faun Environnement, dont le siège est implanté à Guilherand-Granges en Ardèche, fabrique des bennes à ordures ménagères. L’entreprise a dévoilé son nouveau modèle destiné aux biodéchets.
Grenoble Alpes Métropole tient avec Pôle R une vitrine professionnelle dédiée au réemploi et à l’insertion assez unique en France. Son inauguration a permis de mieux comprendre l’importance sociétale d’un rassemblement d’acteurs publics et privés dont l’un des objectifs sera d’atteindre la barre des 7.500 tonnes de déchets transformés.
Renault, Nissan, Land Rover, Citroën : onze millions de véhicules sont déjà équipés de Nafilean, un matériau conçu par l’équipementier automobile Forvia. Ce dernier vient d’inaugurer à Villeurbanne Materi’Act : un centre de recherche et de développement d’autres matériaux durables et biosourcés.
L’ardéchois Chamatex Group et le lyonnais Groupe Zebra s’associent dans la création de la marque de vêtements sportwear et sans coutures Inspyrations. Fondée par Grégory Delamarre, Inspyrations est une marque de textile sportwear qui utilise la technologie du thermocollage, permettant de souder les différentes pièces du vêtement à haute température. Sans coutures, cette technique offre, en cas d’usure, la possibilité au consommateur de désassembler son habit afin de le réparer plus efficacement.
L''entreprise basée à Chambéry est spécialiste de la conception et de la réalisation d''installations de tri et valorisation de déchets. Après l''ouverture de son capital cet été, elle vient de réaliser sa première acquisition.
Fruit de la première collaboration dans la région Auvergne-Rhône-Alpes entre une entreprise de travaux publics et un acteur de la gestion des déchets, Sovatrise anime une boucle de l’économie circulaire dont la vocation est de revaloriser des matériaux pollués issus des chantiers du BTP.
Après les bouteilles et bocaux alimentaires, la start-up “Ma Bouteille s’appelle Reviens”, basée à Chabeuil, teste le lavage de contenants cosmétiques. Une initiative de l’association Cosmébio, à laquelle une vingtaine de marques participent.
Si les marques de cosmétiques ne vendent plus, les fabricants produisent moins et leurs fournisseurs de matières premières perdent du chiffre d’affaires. Dans ce cercle vicieux, Miyochi Europe, installé à Saint-Priest, a dû se réinventer pour rester dans la course et taper dans l’œil de l’État.
