le 14/02/2025 par ECOMEDIA Archives - GROUPE ECOMEDIA
Levées de fonds : le capital-risque fait recette en région Aura
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Selon un baromètre des levées de fonds 2024 Auvergne-Rhône-Alpes, les tours de table ont rapporté 558 M€ à l’économie locale dont 60 M€ en Savoie Mont Blanc.
La société Eolya, un des actifs du groupe isérois Streiff, a trouvé son nouveau directeur général en la personne de Mickaël Darmizin. Âgé de 36 ans, formé à l’École nationale supérieure d’Arts et Métiers, cela fait treize ans qu’il travaille dans le génie climatique. Il a fait ses classes en gestion d’entreprise chez Idex à Lyon avant de prendre la responsabilité de Roiret Services, toujours à Lyon, qui fait partie de la galaxie Vinci Facilities.
le 13/02/2025 par Mes Infos Auvergne-Rhône-Alpes - Economie
Auvergne-Rhône-Alpes : la croissance des entreprises meilleure que prévu
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Dans un climat économique incertain, la Banque de France régionale dresse des perspectives moins catastrophiques que prévu pour les entreprises auralpines.
Notre-Dame-des-Millières. « L’entreprise s’adapte à l’emploi » Benoît Laval, PDG de Raidlight
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Avec déjà deux sites en Isère, l’entreprise spécialisée dans les vêtements et équipements de trail, vient de s’installer à quelques kilomètres d’Albertville. Avec une démarche volontariste en termes d’implantation et toujours dans l’optique de développer le made in France.
Isère. Réindustrialisation : trois intercommunalités dans le dispositif Territoire d’industrie
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Pour la période 2023-2027, trois intercommunalités du Nord-Isère rejoignent le dispositif Territoire d’industrie. Le but : accompagner les territoires dans leur réindustrialisation. Un programme où entreprises et élus locaux vont travailler ensemble, avec l’accompagnement de Guillaume Sagnes, référent Territoire d’industrie Nord-Isère.
Isère. Arkema menace de fermer toute l’usine de Jarrie si elle ne redémarre pas
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Les salariés ont été convoqués par la direction lundi 10 février pour leur présenter le Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) qui comprend le licenciement de 154 personnes. L’occasion de mettre un coup de pression et de faire planer la menace de fermer définitivement l’ensemble de l’usine si celle-ci n’est pas débloquée rapidement.