Située aux confins des régions Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté, Centre-Val de Loire et Nouvelle-Aquitaine, une partie du centre de la France présente des caractéristiques particulières.
La hausse de la population active régionale entre 2006 et 2013 masque des contrastes importants entre les zones d’emploi. Certaines, souvent fragilisées par leur industrie, connaissent des difficultés économiques, tandis que d’autres créent des emplois.
Suite à la naissance de la nouvelle région, un regard croisé de statisticiens et de géographes a été posé sur la région au travers d'un Atlas en 3 tomes. le tome 3 apporte une analyse des flux et mobilités au sein de la région et vis-à-vis de l’extérieur.
Le document récapitule les données essentielles issues du document général produit par l'Agence d'urbanisme de l'aire métropolitaine lyonnaise en collaboration avec la direction du développement économique, de l'emploi et de l'insertion de Villeurbanne.
Cette publication s'inscrit dans le cadre des travaux menés par l'Agence d'urbanisme avec la Ville de Vénissieux. Avec un poids démographique de 63 000 habitants recensés en 2014, Vénissieux se place au sixième rang des villes les plus peuplées de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
En moyenne, 10 000 établissements se déplacent chaque année au sein de l’aire métropolitaine Lyon-Saint-Étienne, dont 6 500 d’une commune à une autre. Leur impact sur l’emploi est faible comparativement à celui des établissements qui n’ont pas déménagé.
Cette analyse répond à plusieurs objectifs : caractériser les transferts d’établissements selon les secteurs, identifier les effets de desserrement ou de polarisation des activités, faire ressortir les zones les plus attractives par secteurs.
La 19e publication s'enrichit de chiffres clés et d'un zoom sur le quartier St Jean retenu dans le cadre du dispositif d'envergure nationale "Territoire zéro chômeur de longue durée", expérimentation de 10 territoires initiée par le Ministère du travail.
Dans le Rhône, les zones d’activités économiques montent en charge entre 2009 et 2011, avec une augmentation de près de 7 % du nombre d’établissements présents et de 5 % des salariés.