Au 1ᵉʳ janvier 2019, la région Auvergne-Rhône-Alpes dépasse le seuil des 8 millions d’habitants. Elle reste la deuxième région la plus peuplée de France. Sa croissance démographique se poursuit avec + 0,6 % en moyenne par an depuis 2013, un peu plus que la moyenne nationale.
Après une année 2020 placée sous le signe de la pandémie, l’économie française a bénéficié d’un fort rebond au premier semestre 2021. L’Isère ne fait pas exception à la règle et la plupart des indicateurs ont retrouvé leur niveau d’avant crise.
Une région riche et dynamique, aux disparités territoriales marquées. Ce document présente des données sur le territoire : la population, l'économie, l'emploi et le marché du travail.
L’Ain est un département très étendu et qui ne recense pas de métropole. Dynamisé par la proximité de Lyon et de Genève, la population de l’Ain augmente de manière importante (notamment dans la zone d’emploi du Pays de Gex).
Porte naturelle entre le nord et le sud de la France, l’Allier est l’un des départements les moins densément peuplés de France et dont la population baisse légèrement.
L’Ardèche est un territoire faiblement peuplé et peu dense, dont le réseau routier s’inscrit dans un relief difficile rendant les temps de transport plus longs que dans le reste de la région.
Territoire très faiblement peuplé, très peu dense, avec une population vieillissante, le Cantal reste à l’écart de la croissance démographique, en raison d’un solde naturel déficitaire et de difficultés liées à son enclavement géographique.
La population de la Drôme est de 514 000 habitants, faisant du département le septième de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Valence Romans Agglo concentre 43% de la population d’un département peu dense (78 habitants au km2).
Département rural à vocation industrielle, la Haute-Loire se caractérise par un réseau de transport peu développé qui contribue à l’isolement de certains territoires. Le taux de chômage est structurellement inférieur à celui de la région.