Revue des principaux indicateurs économiques de la région grenobloise au 1er semestre 2020 : créatons/défaillances d’entreprises, tourisme, chômage, emplois... "Une rentrée toujours impactée par la crise sanitaire et économique"
Fin 2019, le taux de chômage est plus faible dans les zones d’emploi rurales de l’ouest de la région et dans celles des Alpes. En revanche, dans le sud-ouest de l’Auvergne, la faiblesse du chômage s’accompagne d’une diminution de la population active.
Actualisée régulièrement, cette synthèse réalisée avec la contribution d’Invest in GrenobleAlpes présente les impacts de la crise sanitaire sur l’économie régionale, replacée dans le contexte national et international.
En 2019, le marché de l’emploi cadre en Auvergne-Rhône-Alpes est resté dynamique avec 30 440 recrutements de cadres, soit un niveau record. La région demeure au deuxième rang des régions les plus recruteuses derrière l’Île-de-France.
Pour Auvergne-Rhône-Alpes, comme au niveau national : l'activité et l'emploi reculeraient du même ordre de grandeur ; les difficultés financières seraient surmontables ; la reprise d'activité vers un niveau normal se ferait difficilement pour une majorité des PME.
Cette synthèse réalisée avec la contribution d’Invest in GrenobleAlpes présente les impacts de la crise sanitaire sur l’économie régionale et montre que ses effets ont été très variables selon les territoires et les secteurs.
Cette note trimestrielle analyse la conjoncture économique régionale : emploi, interim, micro-entrepreneuriat, chômage, industrie, construction, services, tourisme.
Cette édition de Conjonctura se concentre sur les premiers mois de l’année 2020. Elle permet ainsi de dresser un premier bilan des conséquences économiques de la crise sanitaire liée au coronavirus.
598 380 emplois salariés privés ; 95 890 demandeurs d'emploi de catégorie A ; 519 000 salariés ayant fait l'objet d'une demande d'autorisation préalable d'activité partielle ; 38 procédures collectives.
2019 : un bilan favorable avance la crise. A retenir : 6 820 emplois supplémentaire, taux de chômage 9,6%, 3 420 demandeurs d'emploi de moins, 450 allocataires du RAS de moins, 15 650 créations d'entreprises, 1 011 défaillances.